Potiers et Céramistes
du village de La Chapelle-des-Pots
par Kim René Renaud
(c) mars 2018, revu et augmenté avril 2020
Introduction
La Chapelle-des-Pots [
22,
40] est actuellement un village d'environ 1000 habitants sur 10,27 km2 et de type dortoir majoritairement, situé entre Saintes et Cognac, dans l'ancienne région Poitou-Charentes devenue une partie de la Nouvelle Aquitaine en 2016. Attesté de façon certaine par les différentes études, tout ce qui était nécessaire pour réaliser des céramiques était présent dans ce village: de l'argile déposée par l'évolution géologique, de l'eau présente en quantité suffisante, du bois nécessaire pour les cuissons et surtout des savoir-faire pour la production de poteries et céramiques sur ce territoire. Les productions de céramiques ont fortement varié au cours des siècles en quantité et qualité : des tuiles ou du simple pot, dit rustique, jusqu'aux faïences aux décors élaborés et elles ont été exportées bien au dela de leur aire de production. Cette production de céramiques Chapelaines dure depuis au moins l'an 1320, avec des changements et des arrêts momentanés de production, dont le plus récent des années 1930 à 1954.
Le renouveau de 1954 initié par René Renaud
Des années 1930 à 1954, il n'y avait plus de céramistes sur la commune de la Chapelle des Pots [
31]. Le potier Émile Ledevant (1852-1945 ou 1948), parfois cité, avait eu une boutique à Saintes d'après certains auteurs [
1] mais il travaillait sur la commune de Vénérand, voisine de la Chapelle-des-Pots, où il avait dixit E. Loubes, journaliste à La Nouvelle République de Bordeaux et du Sud-Ouest en 1955: " ...son atelier qu'il ne pouvait se résigner à abandonner malgré le poids des ans." [
21], avant sa mort. Ce n'était pas le dernier potier Chapelain, encore moins le dernier potier Saintongeais prétendu par certains car il y en a encore en activité.
En 1954, mon grand-père, René Renaud (1907-1991), artiste peintre et céramiste du XXe siècle, fut le premier à y recréer un atelier pour produire et vendre ses céramiques, et « M René RENAUD veut faire revivre, à la Chapelle-des-Pots, la tradition de la céramique Saintongeaise. » comme le rapporte E. Loubes [
21]. Cet atelier était son deuxième atelier de céramique, son premier qu'il utilisait toujours avait été créé en 1947 dans le chai de son grand père aux Portes-en-Ré, sans compter ses précédents ateliers parisiens d’artiste peintre professionnel. Dès son arrivée en 1954 à la Chapelle-des-Pots, il construit un nouveau four pour y cuire ses faiences décorées fort de l'expérience de ses deux précédents fours de potier à bois construits aux Portes-en-Ré. Travaillant seul, il produisait ses poteries et céramiques originales et diverses œuvres pour les vendre dans ses ateliers de la Chapelle et de l’île de Ré, et par la suite à Meschers-sur-Gironde, où il créa un certain temps une boutique-atelier dans une autre maison de famille. En grandissant, ses trois filles apprirent le métier et par la suite deux d’entre elles l'exercerent indépendamment dans ce même atelier, en même temps que lui et après lui dans cet atelier de céramique uniquement familial et aux créations originales. Atelier poursuivi à mon tour par moi, Kim René Renaud, son petit-fils formé aux arts céramiques dès la petite enfance avec les céramistes-peintres professionels: René Renaud et deux de ses filles, ma tante et ma mère.
Extrait de La Nouvelle Republique de Bordeaux et du Sud-Ouest du 06 septembre 1955
Entre temps j’ai étudié les sciences jusqu’à une thèse de Sciences de la Terre spécialité géomorphologie . Un clash avec mon directeur de thèse à la fin de ma thèse de doctorat m'a empêché de la soutenir malgré son engagement par écrit de me la faire soutenir et la remise de mon manuscrit de thèse.
J’aurais pu faire une carrière scientifique ou d'universitaire fort de l'expérience d'un demi poste d'
A.T.E.R. et de cette thèse doctorale mais ce blocage subit a brisé cette voie. Carrière que j’aurais pu mener tout en continuant en amateur notre atelier familial de céramique sur mon temps libre comme tant d’autres fonctionnaires, salariés au autres font de la peinture, de la musique, du chant, des conférences ou de la politique par exemple. Maintenant je m’occupe de l’Atelier René Renaud à plein temps et je poursuis une des actions de mon grand-père : « … faire vivre à la Chapelle-des-Pots la tradition de la céramique Saintongeaise », Chapelaine et Charentaise, avec de nombreux projets de créations artistiques à découvrir et sans les censures hiérarchiques comme celles que j'ai subies pendant ma thèse.
Suite à l'installation de l'atelier de céramique de mon grand-père à la Chapelle des Pots en 1954, d’autres projets liés aux céramiques sont apparus dans le village.
Environ 7 ans plus tard, un entrepreneur local monta son atelier de poterie qu'il développa jusqu'au stade de petite usine, avec lui aussi plusieurs points de vente sur le littoral atlantique [
12,
26]. Repris en 2008, le repreneur de cette entreprise arrêta définitivement la production en 2012 [
26]. En 2005, une potière de raku-yaki, technique céramique d'origine japonaise, ouvrit un atelier dans le village. En 2008, un potier en fin de carriere s'installe quelques mois dans des bâtiments municipaux créés pour développer un Pôle Régional de la Céramique [
5]. En 2013-2014, un autre potier s'installe aussi quelques mois dans un autre bâtiment municipal avant de partir dans un autre lieu de vie. [
18]>
Il y a eu aussi de très nombreux potiers de passage qui exposaient et vendaient leurs productions lors des 17 marchés de potiers de La Chapelle-des-Pots (1997-2014), mais à ma connaissance je suis actuellement le seul céramiste faïencier professionnel du village avec en plus une boutique ouverte au public.
Les temps anciens: des premiers potiers au Moyen Âge
A 3 km de l'actuel centre du village, dans la vallée voisine appelée vallée du Coran, des restes d'ossements humains d'un néandertalien ont été mis à jour en 1979 [
20,
33] au lieu-dit La Roche à Pierrot, au pied d'une falaise proche du cours d'eau de cette vallée. Estimé âgée d'environ 36000 ans, cette présence humaine mise en valeur par le Paléosite de Saint-Césaire [
9,
19] prouve que le territoire était déja occupé par des humains au Paléolithique supérieur mais aucun vestige de céramique n'aurait été retrouvé dans les niveaux où ces ossements humains ont été découverts.
Les plus vieilles traces de céramique actuellement découvertes dans les environs remontent ainsi au néolithique. Elles ont été découvertes à Diconche [
32] situé à 8,5 km du centre bourg de la Chapelle-des-Pots lors de la création d'une route. Ces tessons ont été retrouvés dans des enceintes fossoyées.
Par la suite, le développement humain fera que les habitants s'agglomérant, ils édifieront la ville de Médiolanum Santonum qui deviendra l'actuelle ville de Saintes [
11, 28]. Cette proche ville située à moins de 10 km de l'actuelle La Chapelle-des-Pots sera même la première capitale de la province romaine dénommée Gaule Aquitaine. Encore riche d'un patrimoine archéologique mis en valeur : amphithéâtre, arc votif, aqueducs, thermes, la ville possède aussi des vestiges de nombreux ateliers de potiers du Ier avant J.C. au IIe siècle [
29,
34] démontrant ainsi une production et savoir faire de céramique locale.
D'après diverses fouilles et études, dont celle de Jean Chapelot, le village de la Chapelle-des-Pots daterait du milieu du XIIIe siècle, au moment de l'établissement de potiers dans le secteur [
4,
7]. Même si l'on sait qu'une activité non négligeable de production de céramique a existé précédemment à environ 10 km du village, à Saintes, une occupation du village antérieure au XIIIe siècle est actuellement impossible à établir faute d'avoir mis à jour des vestiges d'occupation plus anciens à la Chapelle-des-Pots. L'option que d'éventuels vestiges chapelains auraient pu être détruits ou réemployés au cours des siècles ne peut cependant être exclue, ainsi que des vestiges qui n'auraient pas encore été trouvés ou rendus publics.
En 1320, suite à la demande des potiers du village de l'époque, le chapitre de la cathédrale de Saintes autorisa l'édification d'une chapelle dans l'actuel centre bourg du village pour leur éviter de se rendre aux offices religieux dans les autres villages ou à Saintes. Ces très anciens écrits trouvés aux archives du Vatican [
3], nous confirment ainsi la présence de potiers dès cette époque et en nombre assez important pour que la demande de ce groupe de métier soit étudiée. Cette chapelle tomba en ruine au XVIIIe et l'actuelle église la remplacera juste avant la Révolution française.
A partir de la Renaissance avec Bernard Palissy
Bernard Palissy (vers 1510 – 1590) [
25,
38] actuellement reconnu comme étant un savant était un comptemporain des rois Francois 1er à Henri III. De sa formation de peintre verrier il réalisait des restaurations de vitraux avant d'épouser la fille d'un potier habitant de la Chapelle-des-Pots vers 1536 [
22,
31], lieu où il travailla par la suite [
27] pour réaliser notamment ses recherches scientifiques, et indépendantes, sur les céramiques étant alors rentré dans la corporation des potiers. Il exerça plusieurs métiers liés aux arts du feu: verrier, potier, émailleur, ainsi que d'autres: géomètre, écrivain, ... mais reste célèbre pour ses pièces de faïence dont certaines sont exposées au musée du Louvre [
13], au Château d'Ecouen [
39], ou ailleurs.
Les productions de céramique du village de La Chapelle-des-Pots font alors partie du courant des Poteries de Saintonge [
10] et ont été exportées dans divers lieux, dont l'Amérique du Nord ou l’Angleterre [
29,
31,
49, à
54].
Les années s'écoulant, le développement des autres centres de productions, les guerres, crises sanitaires, économiques, réglementaires, ... ont dû avoir raison des temporairement derniers potiers Chapelains qui n'eurent pas de successeurs immédiatement après 1925 et des temporairement derniers céramistes dans les années 1930, qui seraient des tuiliers [
31]. D'après E Loubes, « ... il y a quelques lustres, une trentaine de fours [...]» [
21] existaient avant cet arrêt momentané d'une production local de céramiques recommencée dès 1954. Un seul de ces anciens fours archéologiques est sauvegardé pour un temps, en étant inscrit aux Monuments Historiques en 2011 et témoigne de cet important passé.
La mise en valeur de ce patrimoine original du village
A partir des années 1966 [
31], plusieurs fouilles archéologiques ont mis à jour de nombreux vestiges. La fouille d'un four de potier du XVIIIe dit four Varoqueaux mit à jour des piles entières d'assiettes décorées qui confirma l'origine supposée Chapelaine de certaines céramiques. Il a été trouvé 30 rebuts de formes de céramiques du XVIe siecle, 185 formes connues du XVIIe siecle et 17 formes de céramiques connues du XVIIIe siecle. Ce four était utilisé au XVIIe et XVIIIe pour produire les céramiques glacurées polychromes caractéristiques de la production saintongeaise de cette époque, céramiques qui était exportées jusqu'en Amerique du Nord [
53,
54].
En 1987 le musée municipal de la céramique de la Chapelle-des-Pots ouvrira dans une ancienne ferme en contrebas de l'actuelle église pendant l'une des mandatures de Raymond Viollier, maire de 1977 à 1991.
René Guillaud, Maire de 1991 à 1995, puis Jean-Claude Couprie, maire de 1995 à 2014, poursuivirent la mise en valeur du rayonnement passé et présent du village.
En 1997 sera créé le marché de potiers de la Chapelle-des-Pots. Des potiers et céramistes de toute la France venaient le temps d'un week-end exposer leur productions, faire des cuissons ou des démonstrations. L'organisation de ce marché de potiers sera arrêtée après 2014 qui sera le 17eme et dernier marché.
En 2003, un four de poterie, dit four chaînette à cause de sa forme en chaînette inversée, sera construit sur l'esplanade de la mairie [
4] puis inauguré en 2008 en présence de la députée locale de l'époque, Mme Quéré, et d'un Conseiller Général de l'époque, M Quéré [
5].
Un pot monumental, rosâtre avec une glaçure verte rappelant le vert typique d'une période de production de céramique de la Chapelle-des-Pots, sera exposé sur un piédestal proche du musée du village pour rappeler la singularité de ce village.
En 2011, le four de potier dit Varoqueaux sera inscrit aux Monuments Historiques [
2,
14].
Un autre four de potier aurait été découvert rue de la République, sur l'autre versant du vallon où se trouve le four Varoqueaux. Une voisine m'a indiqué qu'il aurait été découvert face à sa maison surplombant le vallon lors du creusement des fondations d'une maison par un de ses voisins. Ce four aurait été rempli d'autres piles d'assiettes et détruit lors de cette construction. Il ne semble pas y avoir eu de publication sur cette découverte, son contenu ou sa datation.
Ces différentes équipes municipales qui ont créé des bâtiments pour accueillir des expositions ou d'autres potiers et céramistes, de façon plus ou moins pérenne, avaient la volonté de créer un Pôle Régional de la Céramique pour valoriser la singularité du village de La Chapelle-des-Pots.
2014 : d'une culture à l'autre
Les élections municipales du printemps 2014 ont profondément modifié l'équipe municipale.
Cette nouvelle municipalité a fermé le musée municipal en 2015. Les collections de ce petit musée ont été répertoriées par un emploi civique, emballées puis mises en dépôts hors du village dont la collection Maurice Coudin, riche d'une cinquantaine de pots typiques de la Chapelle-des-Pots. Ce collectionneur Chapelain avait fait don de sa collection à la commune qui avait dédié une des salles du musée à son nom : la salle Maurice Coudin.
Une partie du bâtiment de cet ancien musée a depuis changé de type de culture. Elle est depuis devenue une salle (multi)culturelle de sport, de danse, d'élections depuis 2015 [
6], et ne présente plus rien de l’ancien musée.
Les anciennes pancartes d’informations générales indiquant l'historique particulier du village à ses entrées : "Village de potiers depuis 8 siècles" ont aussi été démontées par les employés municipaux et jamais remplacées ou modernisées, plongeant un peu plus dans l'oubli le caractère singulier de ce village pour lequel tant d’énergie pour sauvegarder cette mémoire avait été investie. Même les nouveaux panneaux routiers en venant de Saintes, au giratoire à l'intersection des routes Nationale N141 / Départementale D131, amputent le nom du village devenu "LA CHAPELLE DES P." (voir vues de Streetview référencé [
16] et [
15]).
Vers 2018 un effort a été fait en réalisant des nouveaux panneaux municipaux aux entrées du village. Aux couleurs très discretes, ils ne mentionnent plus l'histoire singulière du village pendant 8 siécles, le banalisant un peu plus avec les généralités écrites dessus.
En 2018 sera inauguré le Sentier de la Salamandre [
41,
52]. D'un budget d'environ 39000€ [
52], ce sentier d'interprétation composé de deux boucles pédestres pour une longueur totale de 14 km sillonne le village et ses hameaux entre les rares salamandres, tessons parfois présents, mais éventuels serpents vivants contrairement à ceux présents sur les plats du style Rustiques Figulines de Bernard Palissy, ... . Le four Varoqueaux sera débroussaillé et des bornes avec une interpretation dirigée seront installées, mais des erreurs seront propagées dans une vidéo liée à ce circuit puisque Muriel Perrin, responsable du service Art et Histoire de la Ville de Saintes et précédemment directrice de l'Atelier du Patrimoine de Saintes [
36,
37], va y prétendre que : « … l’activité [potière ou céramique] va un petit peu décliner pour lentement disparaître au cours du XXe siecle » [
38] ce qui est en totale contradiction avec la réalité du village et porte même préjudice aux potiers du XXe et XXIe siècle du village en niant ainsi leur existence.
Depuis août 2020, le circuit de visite guidé par GPS et sous forme de jeu de Tèrra Aventura [
55] intitulé
Petit potier c'est mon métier et édité par le Comité Régional du Tourisme Nouvelle Aquitaine guide de nombreux randonneurs à travers le village et passe à seulement 45 m de ma boutique de céramiques poteries et peintures qui peut être ouverte à la demande si nécessaire. Ce circuit vous montre quelques particularités du village dont le four Chaînette et le four Varoqueaux et l’originale fontaine lavoir du centre du bourg seule source d’eau pour beaucoup d’habitants du village jusqu’à l’installation de l’eau courante dans les maisons du bourg en 1958.
A La Chapelle-des-Pots
Je n’ai pas de place pour un "rayon musée" dans ma boutique [
mes horaires ] où je vends mes productions de céramiques réalisées sur place dans mon atelier ainsi que mes peintures d'art sur toiles ou céramiques qui peuvent constituer des cadeaux originaux.
Pour ceux que cela interesse, le musée municipal de la céramique saintongeaise étant fermé depuis 2015, pour voir quelques anciennes productions de céramique des siècles passés, de ou attribuées à La Chapelle des Pots, il reste les musées municipaux de Saintes [
24,
30] et aussi à Saintes le musée de la Maison du folklore (saintongeais) qui possède quelques pièces [
42,
43]. Le musée des Bujoliers [
23], aux Bujoliers, hameau situé sur la commune voisine de Saint-Césaire, le musée d'Art et d'Histoire de Cognac [
17], le musée archéologique de Pons [
44,
45,
46], le musée des Cordeliers de Saint Jean d'Angelys [
47] possédent aussi quelques pièces de ou attribuées à La Chapelle des Pots. Pour ceux qui sont dans la ville de Londres, le Museum of London où des pots Saintongeais de la fin XIIIe début XIVe (n°
L76/78[T2/1]<1> et
20576) [
49,
50] et une assiette du XVIe siecles (n°
VAL88[1451 AND 1459]<6556> ) [
51], trouvés à Londres et provenant de Saintonge y sont exposés. De même au Canada, à Quebec, à Louisbourg [
53,
54 ] et même jusque dans des tombes d'indiens de Louisiane.
Il y a aussi à environ 150 mètres de ma boutique les extérieurs du four moderne de potier dit four chaînette, à 150 autres mètres ceux du four de potier du XVIIIe dit four Varoqueaux, et à 80 autres mètres l’originale fontaine avec sa source recouverte d’un dôme en forme d’igloo et son lavoir accolé aussi en pierre de taille.
Cet original village établi à la confluence de vallées est traversé par le sentier de grande randonnée GR n°4 qui traverse la France de Royan à Grasse, et l'ancien circuit pédestre local le circuit des potiers [48] bien antérieur à celui de la salamandre.
Enfin, le village n'ayant plus de bar restaurant depuis fin 2018, une aire avec tables de pique-nique autour d'un petit lac artificiel et face au terrain de football vous permet de vous reposer ou faire une halte dans le même vallon que mon atelier-boutique.
Pour citer cette page: Renaud, Kim.
Passé Potiers et Céramistes du village de La Chapelle-des-Pots par Kim R. RENAUD [en ligne]. avril 2020. [Consulté le ..../..../202....]. Disponible à l’adresse :
https://atelier-rene-renaud.fr/potiers_ceramistes_La_Chapelle-des-Pots.html
Références bibliographiques
[
1]
Alienor.org, conseil des musées, Exposition virtuelle : Les faïenceries saintaises aux XVIIIe et XIXe siècles : Les faïenciers saintais [en ligne]. 2013. [Consulté le 20 avril 2020]. Disponible à l’adresse :
http://www.alienor.org/publications/faience-saintes/faienceries-saintes.php#fragment-5
[
2]
Arrêté n° 105 SGAR/ 2001 portant inscription au titre des monuments historiques, en totalité, du four de potier dit "Varoqueau" à La Chapelle-des-Pots (Chnarente-Maritime), ainsi que le sol de la parcelle contenant des vestiges archéologiques. [en ligne]. [Consulté le 20 avril 2020]. Disponible à l’adresse :
http://www.culture.gouv.fr/Wave/image/merimee/PDF/PA17000086_IMH_2011.pdf
[
3
] Bulletin municipal annuel 2001 La Chapelle-des-Pots, Mairie de La Chapelle-des-Pots, 2001, p.
[
4]
Bulletin municipal annuel 2003. La Chapelle-des-Pots, Mairie de La Chapelle-des-Pots, 2003, p.24-25.
[
5]
Bulletin municipal annuel 2008. La Chapelle-des-Pots, Mairie de La Chapelle-des-Pots, 2002, p.6, p.19.
[
6]
Bulletin municipal annuel 2015. La Chapelle-des-Pots, Mairie de La Chapelle-des-Pots, 2015, p.8.
[
7] Chapelot Jean et Fossier Robert.
The Village House in the Middle Ages. Berkeley: University of California Press. 1992. 352p. P181. ISBN : 9780520046696
[
8] Contributeurs de Wikipédia.
La Chapelle-des-Pots. Wikipédia [en ligne].
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Paléosite de Saint-Césaire. Wikipédia [en ligne]. 2020. [Consulté le 20 avril 2020]. Disponible à l’adresse:
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10] Contributeurs de Wikipédia.
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11] Contributeurs de Wikipédia.
Saintes. Wikipédia [en ligne].
Wikipédia , 2020. [Consulté le 20 avril 2020]. Disponible à l’adresse :
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[
12] Couprie Jean-Claude et Rodriguez Pierrrette.
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[
13] Ducrot Brigitte.
Bassin « à rustiques figulines » [en ligne]. Musée du Louvre [Consulté le 20 avril 2020]. Disponible à l’adresse :
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[
14]
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[
15] Google Streetview.
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[
16] Google Streetview.
Route de Cognac - Google Maps. Google Maps [en ligne]. Google, Octobre 2017. [Consulté le 20 avril 2020]. Disponible à l’adresse :
https://www.google.fr/maps/@45.7457248,-0.5924872,3a,49.3y,97.34h,93.7t/data=!3m6!1e1!3m4!1sC_RS1d8_dfslO7c4vGen-w!2e0!7i13312!8i6656
[
17] Gourinchas Michel.
Musées de Cognac–MAH: Les collections. [en ligne]. Ville de Cognac. [Consulté le 20 avril 2020]. Disponible à l’adresse :
http://www.musees-cognac.fr/musees/Mah/mah-oeuvre_index.html
[
18]
La Chapelle-des-Pots lettre d'informations n°2. La Chapelle-des-Pots, Mairie de La Chapelle-des-Pots, 2004. 4p.
[
19]
Le Paléosite, centre de Préhistoire sur Néandertal en Charente-Maritime. [en ligne]. 2020. [Consulté le 20 avril 2020]. Disponible à l’adresse :
https://paleosite.fr/
[
20] Lévêque, F. et Vandermeersch, B. (1980)
Les découvertes de restes humains dans un horizon castelperronien de Saint-Césaire (Charente-Maritime). In Compte rendu de la séance du 7 février 1980. Bulletin de la Société préhistorique française. 1980, Vol. 77, nᵒ 77, p. 35
[
21] Loubes, E.
M René Renaud veut faire revivre, à la Chapelle-des-Pots, la tradition de la céramique Saintongaise. La Nouvelle République de Bordeaux et du Sud-Ouest. Edition 18/18, 06 septembre 1955. p.3.
[
22]
Mairie de la Chapelle des Pots - Histoire. [en ligne]. [Consulté le 20 avril 2020]. Disponible à l’adresse :
http://www.lachapelle-des-pots.fr/articles.php?lng=fr&pg=37&mnuid=19&tconfig=0#z2
[
23] Maixent Noël.
Musée des Bujoliers – Saintonge-Mérine. [en ligne]. Association Passé Composé.[Consulté le 20 avril 2020]. Disponible à l’adresse :
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[
24]
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[
25]
Notice de personne "Palissy, Bernard (1510?-1589?)" | BnF Catalogue général – Bibliothèque nationale de France. [en ligne]. 2018. [Consulté le 20 avril 2020]. Disponible à l’adresse :
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[
26] Paries Dominique.
La poterie ne tourne plus. [en ligne] Sud-Ouest, 2012 [consulté le 20 avril 2020]. Disponible à l’adresse :
https://www.sudouest.fr/2012/02/02/la-poterie-ne-tourne-plus-622201-1375.php
[
27] POIRIER Jean-Pierre.
Bernard Palissy: le secret des émaux. Paris : Pygmalion, 2008. ISBN 978-2-7564-0087-7. p142 [
28]
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[
29] Saintes (Charente-Maritime).
7500 ans de céramique: terre de Saintonge : [exposition, Saintes], Musée de l’Échevinage, 20 mai 2017-20 mai 2018 : livret de l’exposition. Saintes : Ville de Saintes, 2017. ISBN 978-2-913507-07-4.
[
30]
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[
31] Société d'Etude et de Sauvegarde de l'Artisanat Céramique en Saintonge.
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[
32] Société Préhistorique Française.
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[
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